James

VOTRE PERSONNAGE

Nom : James
Prénom : Inconnu
Date de naissance : Inconnu ... mais on suppose qu'il a 22 ans



Caractère :
On dit souvent qu'il ne faut pas se fier au physique, que " l'habit ne fait pas le moine". Dans le cas de James, c'est complètement faux. Son physique est l'expression même de son caractère, le prolongement de son âme.
En effet, s'il semble effacé, c'est avant tout par ce qu'il fait tout pour, veillant sans cesse a n'être qu'un homme parmi les autres. Il va même jusqu'a se diminuer physiquement lorsqu'il n'y a aucun enjeu afin de ne pas briller, remarqué. Il se déplace généralement dans l'ombre, évitant le soleil, regard baissé, démarche rapide. Un homme complètement sans intérêt aux yeux des autres. Il évite aussi la compagnie, fuyant les hommes, et cherchant a tout prix un espace a lui, pour respirer, pour s'échapper, s'évader et rêver. Car c'est en effet un grand rêveur, qui s'est crée un univers bien a lui, un monde merveilleux, un endroit parfait ou il aime se réfugier. Il est aussi romantique, sensible, mais -ô grand jamais- il ne le montrera. A moins d'acquérir sa confiance la plus totale ce qui n'est presque jamais arrivé ... autant dire que cet aspect de James est inconnu de presque tout le monde
Il a aussi appris qu'il ne fallais pas trop dévoiler ses sentiments, et parfois souhaiterais même ne plus rien ressentir du tout. Il est donc froid et distant envers ceux qu'il ne connaît pas, n'exprime jamais ses peines, ses joies, ni aucuns petit tracas que chaque personne peut ressentir. Non, il se renferme, écrit de longues lettres a lui même pour se décharger, mais ne se confie jamais. De la même façon, il essaye de ne jamais s'attacher à une personne, de peur de devoir la quitter, ou de se faire trahir, retenant les leçons du passé.
Derrière cette vitrine qu'il s'est soigneusement crée, se cache un jeune homme distingué, intelligent, vif. Il aime la littérature, le théâtre, ou même l'opéra, il se passionne pour les recherches, il dévore les articles scientifiques. Il est aussi cultivé, et aime voir le monde avec philosophie. Ainsi, il cherche le " mieux ", a devenir un homme juste, cherchant le savoir, mais aussi la bonté d'esprit. James est un homme d'honneur, de valeurs morales, respectant toujours une promesse. Pragmatique et reflechit, il hesite avant toute décision, meme la plus insinifiante, afin de faire en toute circonstance le choix qui lui semble le plus noble, le plus respectable. Mais étant aussi humain, il choisit souvent des situations qui l'arrangent. Calculateur, il est donc un fin stratege, méniculeux, soigneux, reflechit.

Portrait physique :
Au premier regard ... on ne le voit pas. Ou plutôt, on ne fait pas attention a lui, le regard glisse sur son corps, l'évite, change de sujet. Il est tout simplement insaisissable, effacé, une ombre qui passe. Tout d'abord, par ce qu'il veille soigneusement a s'éloigner, loin des autres. Toujours posé à l'écart, furtif, silencieux, il écoute en silence, sans faire le moindre bruit. De la même façon, il se meut sans faire la moindre brise, avec un mélange de grâce et d'agilité qui le caractérise. Il n’est ni trop grand, ni trop petit, approchant les 1 m 72 ce qui le place dans la moyenne, de façon a ce qu’il soit d’une apparence quelconque, normal et donc plus discret. Tout son corps semble taillé pour le silence, fin et musclé a la fois, il ressemble a un félin, et il en a emprunté la démarche. Pourtant, a le regarder de plus près, il ressemble a un humain normal, car non James n'est pas un surhomme ni un extra terrestre, mais une aura semble l'envelopper, le dissocier des autres, ce qui a souvent pour effet de troubler les autres.
Ensuite, on peut remarquer qu'il est aussi beau. Une beauté fragile, innocente, pure, distinguée par une peau blanche, un teint ivoire mêlé de quelques taches rosées elle même soulignée par des cheveux noirs ébène. Enfin, c'est que l'on peut croire, car à mieux observer, des reflets cuivrés, voir quelques éclats d'or balayent ses cheveux lorsqu'il s'aventure a la lueur du soleil. Quelques mèches rebelles viennent parfois cacher son regard, lorsque James ne les enlève pas d’un mouvement de main distrait. Son regard … D’abord plutôt froid, dur, comme accusateur, puis si on prend le temps il devient perçant, fouillant au plus profond de l’âme et enfin il apparaît envoûtant, doux, charmeur. Ce dernier regard est cependant réservé a certains et n’est utilisé que très rarement. Ses yeux sont d’une magnifique couleur de jade, un vert profond, contenant de nombreuses nuances, allant de l’émeraude étincelante, de la prairie dorée jusqu’au vert azuré des fonds marins. On y décèle rarement un sentiment, et une fois de plus, il trouble a cause de ce manque d’expression qui le caractérise. Le tout souligné de lunettes fines, a monture d'acier, fines, délicates, qui lui donne un air serieux.
Ses traits sont fins, délicats, comme taillés de la main d’un sculpteur méticuleux, emprunts d’une certaine grâce que l’on retrouve dans sa façon d’être, mais aussi semblent fragiles, doux, éphémères. Un front déterminé, une bouche audacieuse, un menton discret, des pommettes légèrement saillantes, mais pas trop … Il fait bien plus jeune que son age, jusqu'à ce qu’on vois ses yeux, durs, froids, qui laissent entrevoir un long vécu.
Il porte généralement des vêtements communs, une simple chemise, parfois légèrement ouverte laissant ainsi dévoiler une petite partie de son torse, ainsi qu'un jean la plupart du temps assez usé. Il met des couleurs sobres, jamais de vif. James affectionne particulièrement le blanc, qui s'harmonise avec son teint, ou au contraire sur le noir, qui contraste avec la blancheur de sa peau et dont la souligne.
Contrairement a ce que l’on pourrais croire, il n’est pas particulièrement apprécié de la gente féminine. Certes il a un physique avantageux, et sur une simple photographie, il fait tourner la tête de beaucoup de demoiselles. Mais en vrai, il a une apparence trop froide, distante, effacée que avant même de le rencontrer, la plupart des personnes préfèrent l’éviter, naturellement, comme si sa volonté de s’effacer se répercutait tout naturellement sur les autres.


Famille : N'en a pas

Arme :
Un bâton de chêne ; puissant en magie. En effet le bâton possède d'étranges pouvoirs, les mêmes que ceux utilisés dans les baguettes magiques, vous savez, celles des sorciers. Il est très long, très fin, et donc à un poids ni trop lourd ni trop léger : il est très maniable. C'est de ce bâton que James peut lancer des sorts.

Attaque spéciale : Magie déchirante. A l'aide de son bâton, James peut utiliser en même temps tous ses sorts. Et donc les dégâts sont déchirants. Sans oublier que comme il possède des sorts de soins, il se régénère automatiquement. Très utile en fin de combat. Pendant l'attaque, il reste sur place, puis bouge son bâton dans tous les sens : alors des feuilles volent et la magie explose. Si c'est le cas, tout s'est bien déroulé.

Choix : Magies

Magies : Soin, Quart, bouclier.

VOUS

Pseudo : Esky
Âge : 16
Comment avez vous découvert le forum ? Par lily ^^
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Je poste en deux fois : sinon mon message dépasse la longueur autorisée XDD

Histoire :
I L'enfance, ou l'épanouissement d'un jeune homme

Aîné d'une grande famille de 9 enfants, James est né dans un petit village, encore très rustique. Apres de longues heures de douleurs, accouchant dans une chambre austère, sa mère âgée alors d'a peine 17 ans donna enfin naissance a un merveilleux petit poupon, en pleine santé, respirant la vie. Mais on ne pouvait pas en dire autant de la malheureuse, extenuée par l'épreuve, et touchée par une mystérieuse maladie, probablement une infection attrapée a cause des mauvaise condition dans lesquelles elle avait accouché, elle fut déclarée mourante par un médecin de campagne, probablement peu compétant, et ne put quitter le lit, pas même pour nourrir le nouveau né qui réclamait sa ration, durant de longs et durs mois. On confia alors l'enfant a une jeune fille, qui elle aussi venait d'avoir un enfant, afin qu'elle l'allaite en même temps que sa fille. Sa mère se rétablit par miracle, l'enfant survécu grâce a la jeune fille, et il était désormais lié par un lien plus fort que tout a la petite fille, sa soeur de lait.
Il grandissait dans un cadre idéal, une ferme que possédaient ses parents, grande bâtisse de bois au toit de chaume, construite à coté d'un ruisseau cristallin dont on pouvait entendre le doux clapotis depuis la chambre de James. Celui ci passait ses journées dehors, tantôt s'amusant dans les branches noueuses des arbres de la foret claire et verdoyante qui s’épanouissait près de chez lui, tantôt aidant a la récolte de diverses céréales et légumes qui poussaient dans les immenses champs. Parfait petit fermier, il aimait pas dessus tout les animaux, notamment les chevaux qu'il essayait tant bien que mal de monter, malgré les avertissements amusés de son père. Mais ce qu'il aimait par dessus tout c'était voir sa soeur, sa soeur de lait, sa petite princesse, Emeline. Elle était tout pour lui, il l'aimait comme sa propre soeur et plus encore.
Le petit bonhomme haut comme trois pommes devint un enfant vigoureux et fort, travaillant dur a la ferme de ses parents pour la prospérité de celle ci, malgré son age encore peu avancé. Il avait le rôle de chef de famille et prenait cette tache très au sérieux, toujours la pour obéir, pour s'occuper de ses cadets, pour traire une vache ou même trier des pommes de terre. Il ne refusait aucun travail, et veillait même tard pour finir certaines choses a la lueur fragile d’une bougie qui se consumait chaque soir. Sa famille était heureuse, et lui aussi, toujours aussi plein de vie, de bonne humeur. Il passait le peu de temps libre avec Emeline, cette charmante jeune fille au visage rond, entourées de boucles couleur or. Tout se déroulait pour le mieux, dans le meilleur des mondes, un enfant idéal, qui ne cherchait qu'a voir un éclat de fierté dans les yeux de parents eux aussi idéaux, dans une ferme idéale ... Oui, tout était vraiment parfait pour James, et dans ses rêves, il voyait tout simplement son futur.
A l'age de 8 ans, ses parents avaient assez d'argents pour lui offrir une scolarité. James put donc découvrir les joies de l'enseignement, et très vite il dépassa ses camarades, le savoir le dévorait. Toujours plus, apprendre encore, encore ! Non seulement il redoublait d'efficacité a la ferme lors des jours de repos, mais en plus il passait son temps libre a étudier et a apprendre, mais aussi a donner des cours a Emeline, celle ci n'ayant pas les moyens de suivre une scolarité. Il progressa a vitesse fulgurante, et passait même aux niveaux supérieurs en cours d'année. Emeline quand a elle devenait une charmante jeune fille, ses traits s'affinant, des nouvelles formes se créant et elle fit bientôt tourner les têtes des garçons ayant le même age, vivant dans le petit hameau. Mais James ne supportait pas de voir ses enfants bien moins forts et moins intelligents qui lui tourner autour de sa princesse, sa petite soeur chérie. Elle ne les méritait pas, il lui fallait quelqu’un de bien, quelqu’un de fort, quelqu’un comme James, qui pourrait s’occuper d’elle, la protéger, lui donner un foyer et du bonheur. Mais le petit garçon âgé désormais de 10 ans, n'eu pas le temps de protéger, ou plutôt de séduire sa chère et tendre Emeline. Un soir d'hivers, sa vie bascula, son univers s'écroula, sa vie se transforma ...

II L'adolescence, ou la dure réalité de la vie
Petit corps fragile … Enveloppé dans un linceul en lin, de couleur ocre et légèrement taché sur les bords, un enfant gisait. Les lèvres bleutées et les doigts tremblants, il était frigorifié par le vent qui soufflait par cette nuit d’hivers et qui le recouvrait peu a peu d’une neige froide, dure, impitoyable. Sur les dalles grisâtres, il s’éteignait, doucement. Le froid aurait probablement achevé James, si un prêtre n’avait pas regardé une dernière fois devant sa petite église. Si il n’avait pas vu le petit corps dans ce drap couleur terre. Si il ne s’était pas précipité pour mettre le petit garçon devant le doux feu de l’âtre d’une modeste cheminée, tout en lui frottant le dos vigoureusement dans l’espoir de ramener une étincelle de vie dans ce petit corps a moitié mort. Les efforts payèrent, et les joues de l’enfant reprirent une légère teinte rosée, ses lèvres redevinrent rose beige, et son cœur repris son rythme normal. Lorsque les yeux de James s’ouvrirent, il vit d’abord une petite pièce, sobre, dénudée de décoration exhaustives et de babioles qui ornaient généralement les petites maisons. Il était allongé sur un lit aux draps beiges, avec une petite couverture de pleine posée délicatement sur lui. Tentant doucement de se relever, il ressentit alors une douleur fulgurante qui lui arracha un petit cri, a moitié étranglé. Sous le coup de la douleur, ses yeux se fermèrent, malgré la lutte de James pour rester éveillé, et il sombra inexorablement vers un sommeil profond et tourmenté. Et ce fut le début d’une nouvelle vie pour James.
En effet, le jeune homme s’aperçu a son éveil avec inquiétude et appréhension qu’il n’avait plus de souvenirs. Il ne savait pas qui il était, ce qu’il faisait la, qui était sa famille, ce qu’avait été sa vie jusque la. Le vide, le néant, le trou noir. Laissant échapper quelques sanglots a moitié étranglés, et qui ressemblaient plus à un petit cri, a cause de cette sensation vertigineuse et saisissante de ne pas exister, il essayait tant bien que mal à retrouver quelques bribes perdues de sa mémoire. Mais comment chercher quelque chose dont on ignore tout ? Seul dans cette petite pièce austère, tout lui était inconnu. Tout, y compris son prénom. Peut être qu’une chaleureuse famille l’attendait, espérant qu’il revienne, priant pour qu’il soit en vie. Et lui, ne pouvait même pas les rejoindre, leur donner un signe de vie. Il n’existait plus. Tremblant, il se leva doucement pour s’approcher d’un vieux miroir, rayé de toute part et ternit par la poussière. A travers la fine pellicule couleur cendres, il aperçu les traits d’un garçon, âgé d’a peu près 10 ans. 10 ans…. 10 ans qui s’en allaient en poussière. Qu’avait il donc fait durant ces longues année ? Il l’ignorait. Tout à coup, une évidence surgit. Quelque chose qu’il n’avait pas vu au début. Il s’était tellement buté a chercher ce qu’il avait fait de sa vie, a chercher des souvenirs de ce qu’il avait vécu, qu’il en avait oublié le plus important. Certes, il ne connaissait pas les événements qui l’avaient marqué, mais il se rappelait parfaitement tout ce qu’il avait appris jusque la. Il savait parler, compter, connaissait l’histoire, la géographie, la littérature, les mathématiques … Mais aussi comment traire une vache, comment savoir si une pomme de terre était bonne, comment monter un cheval. La façon dont il avait appris tout cela ? Il l’ignorait. Mais il le savait et c’était le plus important. Il en conclut qu’il était probablement un fils d’agriculteur, ce qui était assez proche de la réalité. Cette pensée le rassura. Plus serein, il regarda par la petite fenêtre embuée. Il vit d’abord les passants, pressés, marchant, se bousculant. Puis les voitures, qui se ressemblaient toutes étrangement, grises, anonymes, qui accéléraient, ralentissaient, klaxonnaient, qui essayaient de se garer. Les lumières, les magasins, les passants, les rues, la ville. Puis vint le bruit, vrombissement sourd et rauque des voitures, les martèlements insupportables des travaux qui s’effectuaient au carrefour de deux modestes ruelles, léger chuchotement des piétons se racontant diverses choses insignifiantes de la vie quotidienne, roucoulement des nombreux pigeons qui envahissaient les rues comme en témoignaient les bancs et fontaines blanchies par leurs déjections, le doux bruit du vent d’hivers. Oui, on était en hivers, les vêtements chauds portés par tout le monde en témoignait. Il prit soudain conscience du froid saisissant qui régnait dans la pièce, ne l’ayant pas remarqué d’abord grâce aux couvertures de fine laine qui l’avaient protégé jusque la, puis a cause de la panique qui s’était emparé de lui. Grelottant, il fut contrait de quitter la vision de ce monde pour se réfugier de nouveau dans son lit, n’osant pas encore s’aventurer en dehors de la petite chambre. Il avait déjà eu trop d’émotions.
Allongé sur son petit lit, qui après tout était plutôt douillet et agréable, il patienta donc que la personne qui l’avait mis ici daigne arriver pour enfin l’éclairer. A mi chemin entre rêves et réalité, il laissa divaguer son imagination débordante, qui n’était freinée par aucune limite, se voyant tour a tour chauffer de taxi, fils de personne extrêmement importante, contrebandier, et autres fantaisies du même genre. Il resta ainsi durant probablement plusieurs heures, selon une notion du temps assez vague, jusqu’a ce que la porte s’entrouvre dans un grincement suraigu pour laisser apparaître un homme, âgé de 50 ans a vue d’œil, mince et chétif, ayant une barbe courte, des traits fins et portant une robe noire de prêtre. Les deux se regardèrent longuement, comme pour percer l’esprit de l’autre, essayant de comprendre l’insaisissable. Puis, lentement, avec une douceur presque paternelle, le prêtre s’avança jusqu’au chevet de James. Avec le regard bienveillant, il entama son récit. Comment il l’avait trouvé grelottant, enveloppé dans un linge usé avec pour seule affaire un médaillon ou l’on lisait l’inscription « James », et un autre ou l’on avait « Emeline », comment il l’avait ramené a la vie, prié pour qu’il s’en sorte, et comment il l’avait placé dans une petite chambre inoccupée a l’étage d’un couvant. Le prêtre ne savait donc rien de plus … A son tour, James lui raconta tout, qu’il avait perdu la mémoire, qu’il ignorait ce qui s’était passé, mais aussi ce qu’il savait faire. Les deux hommes se parlèrent alors de tout et de rien durant des heures, étrangement proches, comme si un lien invisible les avait unis au premier regard. Puis, le prêtre lui dévoila alors qu’il allait être placé dans un orphelinat, ne pouvant pas le garder au couvant, pour grandir jusqu'à sa majorité. Il avait fait tous les papiers nécessaires et officiellement, il s’appelait James Sith, né en ville de parents inconnus, et il avait 10 ans depuis peu. James accepta le choix du prêtre sans protester, conscient de ne pas être a sa place dans ce lieu de prière. Des le lendemain, le prêtre lui offrit quelques vêtements, de quoi se laver, et un peu de pain, pour l’orphelinat, puis il prépara ses affaires dans un minuscule baluchon qui témoignait de la situation précaire de James, et alors que la nuit était déjà tombée, celui-ci fit ses adieux au prêtre qui l’avait généreusement accueilli. Transporté par un taxi, il fut déposé devant une battisse sombre, assez ancienne et tombant presque en ruine, quelques vitres cassées, de la peinture qui s’assaillait, du bois pourrissant ... Lui qui pensait que les orphelinats étaient tous modernisés, propres, correct, il réalisa alors son erreur. Et compris l’enfer qui l’attendait.

[ pas fini xD ]